Pleurer,
Un simple mot,
Un simple verbe,
Mais une action si soulageante.
Pleurer,
Pour quelqu'un,
Pour quelque chose,
Ou parfois meme pour rien !
Je ne sais plus m'arreter,
Je n'aurais bientot plus assez d'eau dans mon corps
Pour stoper cette drogue,
A laquelle je suis devenue dependante.
Pourquoi m'arreterais-je d'ailleurs ?
Cela me soulage tant
Cela me defoule !
Je ne vois aucune raison.
Tout ca ne rime a rien
Je ne comprends plus rien,
Je ne comprends plus personne.
Personne ne me comprends ;
Meme pas moi. . .
Tu était déprimé
Tu m'avais mise en garde
Je n'ai pas écouter
Certainement par mégarde
Je te voyais
Toi tu changeais
Tu n'était plus avec nous
Tu était absent c'est tout
On a commencé a s'inquiter
Quand tu nous a insulter
On pensait que tu était enervé
Mais contre nous non jamais
Alors ce soir la je t'ai suivi
Ce soir là j'ai tout appris
Tu est rentrer quelque par
Il fesait très noir
J'ai avancé sans savoir ou j'allais
Je marcher aussi vite que je pouvais
Je voulais te suivre mais avait peur de la suite
Queqlqun ma surpris je me suis dit "je suis cuite"
Je tremblais,mais réstait calme
On m'a emmener dans une pièce
Le je t'ai vu tu te droguais
Avec une seringue tu le faisait
J'ai crier et me suis enfuis
J'aurais du t'écouter quand tu en avait besoin
Car quelque jour plus tard j'ai appris
Que tu était dans une salle de soin
Une crise venait de survenir
Je ne pouvais plus tenir
J'ai couru a l'hopital
La nouvel ma fait mal
Tu était mort et moi ici
Tes parent était en pleure
Et moi je ne savais plus quoi faire
Je ne savais que me taire
Le jour de l'enterrement j'ai pleurer
Ce jour la je me suis suiscider
Car la vie sans toi
Etait impossible pour moi
Si tu pleurs, pleurs de rire
si tu tombes, tombe amoureux
si tu recoi un coup, fait que sa vienne du soliel
si tu chutes, fait que ce soit dans ta moyenne
et si tu aime , aime moi
car je serai uniquement a toi...
si tu casse, tu cassersa mon coeur
si tu reste, tu resteras dans mon coeur
si tu m'embrasse, tu embrasseras mon coeur
si tu me caline, tu calineras mon coeur
mais si tu pars, tu ne partiras pas de mon coeur..
Elle : Allo ?
Lui : Allo ?
Elle : Euh salut, c'est moi
Lui : Oui ?
Elle : Je voudrai te dire quelque chose ...
Lui : Ah bon ?Quoi ?
Elle : ça fait longtemps que je veux t'en parler ,mais devant tout le monde j'ose pas trop
Lui : Oué; et c'est quoi que tu veux me dire ?
Elle : Je t'aime
Lui :...
Elle : Allo ?T'es là ou t'as raccroché ?
Lui : Nan, nan, chui là .
Elle : Alors pourquoi tu ne dis rien ?Tu ne m'aimes pas ?
Lui : Bah ...Nan...Désolé c'est pas réciproque ...
Elle : C'est bon ,tais-toi,ne me fais pas souffrir d'avantage s'il te plait.
Lui : Alors je vais te laisser puisque tu ne veux plus m'écouter ...Aller à demain !
Elle : Non.
Lui : Tu seras pas là demain ?
Elle : Non.
Lui : Pourquoi ?
Elle : parce que tu as brisé mon coeur ,et que je peut pas vivre sans
Lui : Mais non ,dis pas ça !Tu sais ... Je suis pas si génial moi !
Elle : Ne te sousestime.Ne sousestime pas non plus ce que je serai capable de faire pour toi.
Lui : De faire quoi ?
Elle : ça .
Lui : Quoi ?
Elle : ...
Lui : Allo ?T'es là ?
Elle : ...
Lui : Pourquoi tu réponds plus ?Allo ?
c'est pas la peine elle ne répondra plus jamais...
détrui moi
a lieu de me regardé
souffrir comme sa
tu m'a tant de fois violé
tu as pris ma dignité
j'aimerais tellement te tué
te faire la même chose qu'a moi
pouvoir devenir toi
te faire souffrir comme tu m'a fait souffrir
essaye voir de survivre
mais fait comme si rien ne c'était passé
pdnt que moi je vai crevé
pour tes désirs
tu m'as fait souffir
J'en peux plus
De ce monde
Qui me plait plus
Que j'ai déja connu
J'en peux plus
Qu'on me trahisse
Et qu'on me brise le coeur
Pour seulement une histoire de bonheur
Qui n'était que malheur
J'en peux plus
De tous ces problèmes
Qui me tombent dessus
Et qui me rendent toujours plus triste
J'en peux plus
De cette vie
Que j'ai toujours connue en mieux
Et qui aujourd'hui me rend de plus en plus malheureux
J'en peux plus...
Fuir ce que je suis...
Fuir ce que je vis...
Fuir mon passé...
Fuir ma réalité...
Fuir ce qui me rappelle...
tout ce que j'ai fait ...
Fuir pour oublier que je dois survivre...
Fuir simplement pour oublier
Que je n'arrête pas d'être blessée...
Hier j’ai tué une femme par dégoût de ma vie
Un acte horrible, un drame par lequel je m’enfuis
Oui je suis assassin mais déjà condamné
et pourtant nul ne voit que ce choix je l’ai fait
et de ceux qui m’aimaient, nul ne pardonnera
hier j’ai tué une femme et cette femme c’était moi
Je vais vous raconter l'histoire
Peut être assez noire
De cette fille de 14ans
Qui disparue un jour de printemps
Comme chaque matin elle se levait
Se lavait et s'habillait
Pour au collège aller
Et ses amis retrouver
Mais ce jour là
Au collège elle n'alla pas
Ces parents furent prévenus
Mais le soir elle n'était toujours pas revenue
La police ils décidèrent d'appeler
Car sa disparition il fallait signaler
La pluie commençait à tomber
Et les parents à s'inquiéter
Où était cette enfant
Qui s'était disputée avec ces parents
La veille de cet évènement
Qui s'est passé il y a quelque temps maintenant
Des semaines ont passées
Les mois commencèrent à s'écouler
Des nouvelles personne n'en avait
De cette fillette qui avait
Certainement fuguée ou pire qui sait
Qui s'était fait enlevée voire violée
Cela fait 10ans aujourd'hui
Que cette jeune fille est partie
Ces parents ont perdu goûts à la vie
Car ils se sentaient responsables de ceci
Mais ils n'ont pas perdu espoir
De peut être un jour revoir
Leur fille qui n'est pas rentrée un soir
Et pour laquelle ils prient dans le noir
Car en plus ils n'ont jamais donnés
A leur enfant un dernier baiser.
je te déteste toi le garçon que j'ai cru aimer
je te déteste pour tous le mal que tu ma fait
je n'est plus gout a la vie
regarde mes poignets tu les a détruits
a mon coeur tu lui a menti
regarde les traces sur mon corp
tu ma voler mon bonheur
tu ma piétiner
tu ma fait passer pour une fille qui crévé aprés tes baisers
j'ai cru a tes mensonges
et aujourd'hui tout sa me ronge
cette cicatrice a mon poignet
elle me fait penser a tout le mal que tu ma infliger
4 point de souture
pour moi ses dure
je te déteste d'être partie
mes je te déteste encore plus d'avoir mis fin a ma vie
Je voulais en finir avec la vie
Je n'en voulais plus
Je ne voulais plus entendre ses cris
Je ne voulais plus être battue
Alors je me suis enfuie
J'ai couru longtemps dans la rue
Ne regardant jamais derrière
Pour une fois, je voulais être fière
De ce que j'allais faire. . .
Inutile de me retenir
Désormais tout ce que je désire,
C'est partir
Partir loin de ce monde
Partir loin du malheur qui abonde
Partir loin de LUI
En finir enfin avec la vie
J'ai grimpé
Au sommet du bâtiment
Et j'ai murmuré
"J'arrive Maman. . ."
Je passai un pied
Par dessus le garde-fou
Puis le deuxième y sied
Et je penchai mon cou
Combien de temps ai-je attendu ?
Des badauds se sont rassemblés
Et tous ils m'ont bien vu
A présent, je dois me lancer
Un pied s'avance
L'autre a suivi je pense
Je sens de l'air frais sur mon visage
Ainsi disparaît toute ma rage
Aujourd'hui, je suis morte
Car je n'ai pas été assez forte
Pour supporter ta violence
Avec décence.
Ce matin, j'ai ouvert la fenêtre,
J'ai senti quelque chose d'étrange dans l'air...
J'ai levé les yeux vers le ciel,
J'ai vu la pluie tombée,
Et j'ai compris que quelque chose avait changé.
Je ne sais pas pourquoi,
J'ai tout de suite pensé à toi,
J'ai attrapé le téléphone,
Composé ton numéro,
La peur au ventre,
J'ai attendu que tu décroches,
Mais tu ne l'as pas fait...
J'avais un mauvais pressentiment,
je sentais quelque chose d'étrange,
Des larmes coulaient le long de mes joues,
Je ne comprenais pas pourquoi je me mettais dans cet état,
Car il n'y avait rien de concret,
Juste ce mauvais pressentiment...
Je t'ai appelé une fois, deux fois, trois fois...
Tellement de fois,
Mais tu n'as jamais décroché...
J'ai fini par appeler ta demi-soeur,
Je lui ai demandé ce qu'il se passait,
Pourquoi tu ne décrochais pas,
Elle a commencé à pleurer,
J'ai compris que je ne m'étais pas tromper...
Elle m'a dit que, la nuit dernière, tu avais été renversé,
Par un chauffard, bourré...
Elle m'a dis que tu étais tombé dans le coma,
Et qu'ils ne savaient pas si tu allais te réveiller...
Je n'avais plus la force de parler,
J'ai dis que je rappelerais et j'ai raccroché.
Tout autour de moi s'est écroulé!
J'ai repensé à tous ces moments,
Tous ces souvenirs,
Tous nos délires...
Tu étais mon rayon de soleil,
Mon meilleur ami, on avait dit pour la vie...
Mon amour, on avait dit pour toujours...
Je suis allée à l'hopital,
Jsuis restée deux semaines à ton chevet,
Jpassais mon temps à pleurer, à te regarder,
A espérer...
Mais ton coeur a fini par arrêter de battre,
Les infirmières, les médecins s'agitaient autour de toi,
Essayant en vain, de te faire revivre...
Je suis sortie de cette chambre,
Je marchais sans but dans ce couloir blanc,
Les larmes brouillaient ma vue,
Je suis arrivée à cette fenêtre, on était au cinquième étage...
J'ai regardé une dernière fois derrière moi,
J'ai vu ton corps sans vie sur le lit que poussait l'infirmière,
Je n'ai pas réfléchi, j'ai ouvert cette fenêtre,
Et je suis partie...
Je ne pouvais pas vivre sans toi :
Tu étais mon rayon de soleil,
Mon meilleur ami, on avait dit pour la vie...
Mon amour, on avait dit pour toujours...
* Dis où tu vas?
* Je ne peux pas te le dire...
* Mais pourquoi?
* Cest un secret, je ne peux pas...
* S'il te plait dis moi où tu vas...
* Je vais au plus près des étoiles, la où toutes les âmes dorment en paix.
* Tu me laisses alors?
* Je ne serais pas loin...
* Je ne veux pas que tu partes, et puis pourquoi tu t'en vas?
* Je ne vis pour plus rien ici, mes jours sont morts...
* Et moi alors?
* Tu n'as pas besoin de moi...
* Et tu crois que les étoiles ont besoin de toi, tu vas me laisser pour rejoindre ce silence froid?
* Je t'aime pour toujours...
* Alors emmène moi !
Il y a des jours
Où on aurait aimé ne pas être né,
Où on aurait préféré ne pas aimer.
Il y a des jours
Où tout va mal,
Où on aimerait mourir.
Mais il y a des jours
Où le monde est merveilleux,
C'est lorsqu'on aime
et qu'on est aimé.
Tu me traites de putain,
Car j'ai mis un pantalon moulant.
Tu me traites de salope,
Car je n'ai pas de clopes.
Tu me fais une sale réputation,
Car j'ai refusé de te faire une fellation.
Tu dis que je cherche à me faire coincer,
Car, sur le même trottoir que toi, j'suis passée.
Ou alors juste parce que j'suis dehors,
Au lieu de rester à la maison, tandis que tu sors.
Mais mec tu t'es cru où ? Tu t'es pris pour le roi !
Tu crois que je vais fermer ma gueule ou quoi ?
Dis moi, tu t'es cru en quelle année ?
C'est plus le tps où je devais faire ce que tu voulais!
Aujourd'hui j'ai les mêmes droit que toi,
Alors arrête de faire ta p'tite kaïra !
Et ne m'interdis pas de faire ma vie ...
Comme j'en ai envie !
Ma vie est une grosse erreur
Je ne merite aucun bonheur
Surtout avec ma laideur
De la vie j'ai peur
Peur du malheur
Du malheur qui me fait mal au coeur
Je pert ma chaleur
Dans le creu de la noirceur
Et je retrouve la froideur
Comme une fleur qui meut
en prenant son temps
tout lentement. . .